Le logiciel de programmation graphique mBlock est une version améliorée de Scratch, il peut être installer ou utiliser en ligne. mBlock 5 possède de nouveaux blocs liés à des actions matérielles, permettant de contrôler le robot mBot.
Dans l'onglet appareils il faut ajouter mBot
Attention à faire la différence entre le mode connecté et le mode automate!!
Le mode connecté permet de piloter le mBot en direct avec un ordinateur via une connexion USB ou sans fils...mais une fois déconnecté, le mBot restera inerte.
Le mode automate permet lui de programmer le mBot. C'est à dire d'implémenter le programme dans le mBot. Dans ce cas, après avoir téléversé le programme, le mBot exécutera son programme une fois alimenté.
Téléverser le code dans le mbot en mode automate :
1. Connecter le MBot via le port USB, l'interrupteur doit être en position ON
2. Cliquer sur
3. Choisir le port de communication
4. le programme, Attention, le téléversement peut parfois être long.
5. On débranche le câble USB et on vérifie que le programme s'exécute convenablement
Les capteurs
Capteur à ultrasons:
Le capteur de distance par rapport à un obstacle est constitué par un émetteur et un récepteur à ultrasons. L’émetteur envoie une onde ultrason qui est renvoyée ou non par un obstacle rencontré sur son chemin. Le récepteur à ultrasons recevra ou non cette onde
La vitesse du son dans l’air est constante et égale à 360 m par seconde.
Le module suiveur de ligne est un capteur de contraste. Il est constitué d’une LED émettrice et d’un phototransistor.
Le capteur suiveur de ligne est constitué de 2 capteurs de contraste.
Etat du suiveur renvoie également une valeur en fonction de son état
Le logiciel de programmation graphique mBlock est une version améliorée de Scratch, il peut être installer ou utiliser en ligne. mBlock 5 possède de nouveaux blocs liés à des actions matérielles, permettant de contrôler le robot mBot 2
Dans l'onglet appareils il faut ajouter Cyber Pi puis dans
Attention à faire la différence entre le mode connecté et le mode automate!!
Le mode connecté permet de piloter le mBot en direct avec un ordinateur via une connexion USB ou sans fils...mais une fois déconnecté, le mBot restera inerte.
Le mode automate permet lui de programmer le mBot. C'est à dire d'implémenter le programme dans le mBot. Dans ce cas, après avoir téléversé le programme, le mBot exécutera son programme une fois alimenté.
Téléverser le code dans le mbot en mode automate :
1. Connecter le MBot via le port USB, l'interrupteur doit être en position ON
2. Cliquer sur
3. Choisir le port de communication
4. le programme, Attention, le téléversement peut parfois être long.
5. On débranche le câble USB et on vérifie que le programme s'exécute convenablement
Les capteurs
Capteur à ultrasons:
Le capteur de distance par rapport à un obstacle est constitué par un émetteur et un récepteur à ultrasons. L’émetteur envoie une onde ultrason qui est renvoyée ou non par un obstacle rencontré sur son chemin. Le récepteur à ultrasons recevra ou non cette onde
La vitesse du son dans l’air est constante et égale à 360 m par seconde.
Le module suiveur de ligne est un capteur de contraste. Il est constitué d’une LED émettrice et d’un phototransistor.
Le capteur suiveur de ligne est constitué de 2 capteurs de contraste.
Etat du suiveur renvoie également une valeur en fonction de son état
Au moins 1 800 milliards de déchets plastiques polluent les océans. Au fil des années, ils se sont agglomérés en une monstrueuse masse qui ne cesse de s'étendre en plein Pacifique. Une étude publiée le 22 mars 2018 montre que ce continent flottant s'étale sur une surface équivalente à trois fois celle de la France.
Selon l'étude de l'organisation Ocean Cleanup publiée dans la revue Scientific Reports, ce "septième continent" de plastique occupe 1,6 million de km² dans l'océan Pacifique. Le vortex étudié se situe à mi-chemin entre Hawaï et la Californie.
Le chiffre a été rendu public le 22 mars 2018 et montre que l'ampleur du phénomène de concentration des déchets dans les océans est beaucoup plus étendu qu'on ne l'imaginait. Jusqu'à 16 fois plus. Si ces détritus flottants devaient être ramassés, il en ressortirait une masse
de 80 000 tonnes.
echantilllons de déchets collectés pour les besoins de l'étude de The Ocean Cleanup
Cette concentration, due aux courants marins, n'est cependant pas une masse compacte. Les auteurs de l'étude ont considéré qu'un kilo de déchets dans un kilomètre carré de surface faisait partie du "septième continent".
Pour leur évaluation, les chercheurs ont effectué de nombreux survols aériens de la zone et analysés pendant deux ans 1,2 million d'échantillons récoltés dans l'eau. Ils ont notamment découvert que ces déchets ne sont pas seulement microscopiques mais que les trois-quart des débris dépassent les 5 cm. Près de la moitié d'entre eux sont du matériel de pêche abandonné. Des données qui constituent « plutôt une bonne nouvelle » parce que « les gros débris sont bien plus faciles à collecter que les microplastiques » explique l'un des auteurs de l'étude.
Néamoins, Laurent Lebreton, de la fondation Ocean Cleanup, rappelle qu'en plus de polluer, les cordes et autres filets de pêche qui dérivent tuent beaucoup « de poissons, de tortues et même de mammifères marins » qui s’empêtrent dedans.
Le bateau amiral de la fondation Ocean Cleanup au cours de sa collecte de déchets dans l'océan Pacifique en 2015
En mai 2014, une équipe de marins et de scientifiques est partie en expédition pour étudier ce 7ème continent, un gigantesque tourbillon de déchets en plastique, dont nous sommes tous responsables.
Le 7ème continent en chiffres
3,5 millions de km2 (1/3 de l'Europe, 6 fois la France)
750 000 débris par km²
Découvert en 1997 par le capitaine Charles Moore
Composé de plastiques à 90 %, 80 % des déchets proviennent de la terre via les fleuves